« À feu doux » de Sarah Friedland : les mille visages de Ruth

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Triplement récompensé à la dernière Mostra de Venise, ce premier film de l’Américaine Sarah Friedland nous fait pénétrer dans l’univers mental d’une octogénaire atteinte de démence et brosse le portrait, poignant et subtil, d’une femme à la mémoire diffractée.
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Je m'abonne Les films sur la maladie d’Alzheimer évoquent souvent « l’avant », lorsque la conscience de la personne qui en est atteinte est encore là. Depuis le diagnostic, et souvent le déni, jusqu’à la perte progressive des capacités cognitives et le désarroi éprouvé devant celle-ci. Rien de tout cela chez Sarah Friedland qui saisit Ruth, son héroïne, précisément au moment où elle a basculé dans une autre réalité et ne reconnaît déjà plus son fils, Steve, venu la chercher pour la conduire dans une résidence médicalisée.
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