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Séries : pour toucher les jeunes, faire du « djeun » est un faux pas mortel

Séries : pour toucher les jeunes, faire du « djeun » est un faux pas mortel

Récit Parvenir à séduire les 15-35 ans avec des séries françaises relève du casse-tête pour les producteurs, comme l’a illustré un débat au Festival de la Fiction de La Rochelle, qui s’est tenu du 16 au 21 septembre.

Par Véronique Groussard

Les jeunes ont plébiscité « Adolescence », série britannique (sur Netflix), se sont précipités en masse sur « Bref.2 » de Kyan Khojandi (sur Disney+) et sur « Empathie » (Canal+).

Les jeunes ont plébiscité « Adolescence », série britannique (sur Netflix), se sont précipités en masse sur « Bref.2 » de Kyan Khojandi (sur Disney+) et sur « Empathie » (Canal+).

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Si des lycéens s’étaient glissés au théâtre Verdière de La Rochelle durant le Festival de la fiction, ils se seraient à coup sûr amusés de voir dans quelles affres ils plongent les décideurs des séries, feuilletons et autres sagas télévisuelles. Une table ronde leur était même consacrée : « Fictions jeunes adultes : mission séduction ». C’est qu’ils sont déroutants, ces jeunes – quand, en télé, on dit « jeunes », cela va jusqu’à 35 ans.

Ainsi, alors qu’il était acquis qu’un plan de plus de 3 minutes les fait zapper, ils ont plébiscité « Adolescence », cette série britannique (sur Netflix) où un ado tue sa camarade de classe, entièrement tournée… en plan séquence (une seule caméra filme d’une traite et sans interruption chaque épiso…

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