Bienvenue dans la maison familiale de Frida Kahlo à Mexico
Depuis la fin de septembre, la Casa Roja, maison dans laquelle vécurent les parents de Frida Kahlo, a rouvert ses portes à Mexico. Elle offre une plongée dans la vie familiale de la peintre mexicaine, raconte “The New York Times”.
Les traits singuliers de Frida Kahlo – ses épais sourcils, son regard perçant – apparaissent toujours sur les billets de 500 pesos mexicains [23 euros]. À l’aéroport de Mexico, les voyageurs peuvent se procurer une eau de toilette qui porte son nom. Ailleurs, le visage de la peintre a été décliné sur une panoplie d’objets : sacs fourre-tout, socquettes, tasses isothermes, entre autres.
Soixante et onze ans après sa mort, Frida Kahlo est sans doute toujours la femme la plus reconnaissable du Mexique. Seule la Vierge de Guadalupe lui fait réellement concurrence.
Chaque année, des centaines de milliers de personnes affluent à la Casa Azul (qui tient son nom du bleu cobalt de ses murs), où elle est née et morte [1907-1954], et au Museo Casa Estudio Diego Rivera y Frida Kahlo, où elle a vécu et travaillé aux côtés de son mari, le peintre Diego Rivera. Les deux établissements sont situés dans deux quartiers distincts de la capitale mexicaine.
Depuis la fin de septembre, les admirateurs de Frida Kahlo peuvent visiter un autre lieu de pèlerinage à Mexico : le Museo Casa Kahlo, ou Casa Roja, maison où les parents de l’artiste ont vécu à partir de 1930. Situé à trois pâtés de maisons seulement de la Casa Azul, le nouveau musée s’intéresse à l’histoire familiale et aux
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 The New York Times (New York)
 The New York Times (New York) Avec 1 700 journalistes, une trentaine de bureaux à l’étranger, plus de 130 prix Pulitzer et plus de 11 millions d’abonnés au total à la fin de l’année 2024, The New York Times est le quotidien de référence aux États-Unis, dans lequel on peut lire “all the news that’s fit to print” (“toute l’information digne d’être publiée”).
Dans son édition dominicale, on trouve notamment The New York Times Book Review, un supplément livres qui fait autorité, et l’inégalé New York Times Magazine. La famille Ochs-Sulzberger, qui, en 1896, a pris la direction de ce journal créé en 1851, est toujours à la tête du quotidien de centre gauche.
Quant à l’édition web, qui revendique à elle seule plus de 10 millions d’abonnés à la fin de 2024, elle propose tout ce que l’on peut attendre d’un service en ligne, avec en plus des dizaines de rubriques spécifiques. Les archives regroupent des articles parus depuis 1851, consultables en ligne à partir de 1981.
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